Indistinction

Atelier édition 2016

Indistinction

Atelier édition 2016

Indistinction 1 : Portraits et corps, visages et oeils, masques et mains

Le projet « Indistinction I et II » est né de l’envie de faire voyager l’art hors de ses murs habituels afin de le rendre accessible à des détenus des établissements pénitentiaires d’Aiton et de Chambéry.
Le musée et l’artothèque se sont associés à l’École municipale d’art pour imaginer une proposition mêlant patrimoine, médiation de l’art et création plastique, art ancien et art contemporain, autour d’oeuvres des collections chambériennes. L’idée forte du projet est de proposer aux détenus un rapport privilégié à des oeuvres originales. Puisqu’ils ne peuvent venir vivre l’expérience de la rencontre avec l’oeuvre au musée, c’est l’oeuvre qui est venue à eux. 

Dans chaque établissement pénitentiaire, le projet s’est déroulé en deux volets : Un premier volet de dialogue et d’échange autour des oeuvres, avec Mélanie Faguer et Anais Baillon médiatrices au service des publics des musées de Chambéry et Sandrine Lebrun, plasticienne et directrice de l’École Municipale d’Art. Un second volet de création avec Sandrine Lebrun et Stéphanie Migliorini, comédienne, metteuse en scène et directrice artistique du Chapiteau Théâtre Compagnie. Leur intention a été de décloisonner les esthétiques et de s’approprier des objets du quotidien ou de la culture populaire, notamment le masque. Elles ont impulsé une activité artistique en référence à l’art brut et à l’art modeste en réalisant des détournements d’objets, des masques en volumes et des accessoires, un environnement visuel réalisé avec les moyens les plus simples.

Indistinction 2 : Portraits et corps, visages et oeils, masques et mains

Cette semaine de découverte des oeuvres originales a été suivi d’une semaine de création avec Sandrine Lebrun artiste plasticienne et directrice de l’EMA et Stéphanie Migliorini, comédienne, metteuse en scène et directrice artistique du Chapiteau Théâtre Compagnie. Elles ont pour intention de décloisonner les esthétiques et de s’approprier des objets du quotidien ou de la culture populaire, notamment le masque. Elles ont impulsé une activité artistique en référence à l’art brut et à l’art modeste en réalisant des détournements d’objets, des masques en volumes et des accessoires ou une environnement visuels réalisé avec les moyens les plus simples.